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Ourari Aucun avis

Ourari :
harpagophytum

L’ourari (strychnos toxifera) est une plante très toxique qui pourtant a un usage médicinal pour les cas particuliers et pour éviter les anesthésies lors des actes chirurgicaux, puisqu’elle contient du curare végétal. L’ourari paralyse complètement les muscles du corps et entraine ensuite un arrêt respiratoire de la personne.

Noms communs :

Ourari, wourali, urari, woorar, curare.

Nom latin :

Strychnos toxifera.

De la famille :

Famille des loganiacées (loganiaceae).

Nom arabe :

Vous connaissez son nom en arabe, indiquez-le dans les commentaires en bas.

Quelle toxicité peut-elle avoir ? :

L’ourari est une plante extrêmement toxique et dangereuse, le suc noir issu de ce végétal, qui se révèle être un poison paralysant tous les muscles et qui ensuite provoque la mort par arrêt de la respiration.

Ce poison est une forme de curare végétale qui stoppe le transfert de l’influx nerveux et entraîne ainsi une entière paralysie du corps, cet empoisonnement est une horreur à vivre pour la personne tandis qu’il ne peut plus bouger, ni parler ni ouvrir les yeux et qu’il commence à avoir des difficultés à respirer dans des convulsions insupportables, il possède tout son esprit.

Indications thérapeutiques :

De nos jours il est encore d’usage de faire appel à l’ourari comme plante médicinale pour des situations spécifiques, le curare qui en est extrait est employé dans les traumatismes musculaires et les spasmes, pour calmer les crises d’arthrite aiguë et pour soulager la poliomyélite.

L’usage de ce curare végétal est un bon remède pour éviter l’anesthésie et les immobilisés durant une chirurgie délicate tout en les reliant à une machine pour les maintenir en vie.

Principaux constituants :

L’ourari renferme de nombreux composants actifs dont des alcaloïdes avec de la tubocurarine et de la brucine.

Ourari utilisation traditionnelles vertus :

L’ourari fut utilisé comme plante médicinale dans la pharmacopée traditionnelle amérindienne pour son usage stomachique.

Ce ne fut qu’au début de la Seconde Guerre mondiale que le curare extrait de l’ourari fut de nouveau employé, sous forme d’anesthésiant végétale puisqu’il pouvait paralyser et provoquer ainsi le relâchement musculaire et facilitait le travail du chirurgien.

Le suc extrait de cette plante trouva une utilité dans le domaine pharmaceutique en tant que substance psychotrope dans le traitement de l’hydrophobie (phobie de l’eau), ainsi comme remède pour contrer le tétanos.

Description :

L’ourari est une plante grimpante de type liane muni de trichome de teinte rouge, il fait partie de la famille des loganiacées.

Il possède des tiges ramifiées munies de vrilles enroulées, le feuillage est pétiolé avec des feuilles de forme ovales et elliptiques.

Son inflorescence est réunie en cyme terminale avec des fleurs de teinte blanche ou jaune qui diffuse un parfum très agréable, puis laisse la place au fruit globuleux d’une teinte gris-vert et renfermant des graines.

Habitat :

L’ourari est originaire de Guyana, on le trouve dans tous les forets tropicaux et subtropicaux, avec le Costa Rica et le Brésil, ainsi que le Panama, il privilégie les zones humides.

Ourari : précautions effets secondaires, contre-indications :

Aucune contre-indication ou effet secondaire connu à ce jour, si vous avez remarqué ou eu des effets secondaires ou indésirables, indiquez-le dans les commentaires en bas.

Ourari : Dosage, posologie

Aucune information officielle à ce jour, si vous avez une indication de posologie que vous utiliser ou connaissez , laissez la en bas dans les commentaires.

Divers :

L’ourari fut identifié par un Européen au début du 19 e siècle par un naturaliste, géographe et explorateur allemand du nom d’Alexander Von Humboldt.

De l’ourari était extrait une forme de curare que les Amérindiens du Brésil, des rives de l’Amazone et de la Guyane de même que les populations du Pérou se servaient pour chasser le gibier.

Cette préparation spécifique était gardée jalousement par les sorciers des tribus, il était rapporté que les vieilles femmes qui aidaient à la préparation du curare succombaient très souvent due aux émanations de ce poison.

La préparation enfin terminée, les guerriers de l’époque enduisaient les flèches de leurs arcs et les sarbacanes, le gibier atteint par ce poison se trouver soudainement paralysé (muscle) puis s’asphyxiait, tout ceci sans effrayer la faune environnante et les Amérindiens l’avait d’ailleurs nommé la mort qui tue tout bas.

Cet empoisonnement ne gâtait en rien la viande, puisqu’il était dit que l’ingestion n’était pas nocive pour l’être humain.

IMPORTANT :

L’ensemble des informations mentionnées n’est donné qu’à titre indicatif et ne peut en aucun cas remplacer un avis médical précis pour chaque personne. Veuillez consulter votre pharmacien ou praticien avant tout usage.

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