PRODUITS NATURELS
Sommaire
- 1 Noms communs :
- 2 Nom latin :
- 3 De la famille :
- 4 Nom anglais :
- 5 Nom allemand :
- 6 Nom espagnol :
- 7 Nom italien :
- 8 Nom néerlandais :
- 9 Nom arabe :
- 10 Cirse propriétés thérapeutiques et médicinales :
- 11 Principaux constituants :
- 12 Cirse utilisation traditionnelles vertus :
- 13 Description :
- 14 Habitat :
- 15 Cirse : précautions effets secondaires, contre-indications :
- 16 Cirse utiliser pour, et les bienfaits sur la santé :
- 17 Cirse : Dosage, posologie
- 18 Divers :
- 19 Source(s) {
- 20 IMPORTANT :
Le cirse ou cirse des champs est une plante médicinale fort peu connue pour ses propriétés thérapeutiques, elle est surtout réputée comme herbe nuisible et envahissante. Le cirse est un remède des hémorroïdes d’ou le surnom qu’il lui fut donné de cherdon hémorroïdal. Autrefois, le cirse servait à soigner les maladies buccales, il est astringent et emménagogue.
Noms communs :
Cirse, cirse des champs, chardon des champs, chardon des vignes, cherdon hémorroïdal, sarrète des champs, sarette, herbe aux varices, ciste champêtre.
Nom latin :
Cirsium arvense.
De la famille :
Famille des astéracées (composées, asteraceae).
Nom anglais :
Creeping thistle, canada thistle, canadian thistle.
Nom allemand :
Acker-distelc, acker-kratzdistel.
Nom espagnol :
Cardo cundidor, cardo triguero.
Nom italien :
Cardo campestre, scardaccione, stoppione.
Nom néerlandais :
Akkerdistel.
Nom arabe :
Vous connaissez son nom en arabe, indiquez-le dans les commentaires en bas.
Cirse propriétés thérapeutiques et médicinales :
Le cirse des champs ou cirse est une plante médicinale peu usitée de nos jours, on l’a dit astringente et diurétique, emménagogue, émétique et tonique.
Elle serait un traitement thérapeutique des hémorroïdes.
Principaux constituants :
La racine du cirse des champs renferme des tanins, des glucosides et des alcaloïdes.
Cirse utilisation traditionnelles vertus :
Les chippewas, peuple indien d’Amérique ont utilisé dans leur pharmacopée traditionnelle le cirse des champs comme tonique, diurétique et astringent.
Il prescrivait sa racine en infusion pour soigner les maladies buccales.
Description :
Le cirse des champs ou cirse est une plante commune herbacée vivace ou bisannuelle qui atteint près d’un mètre de hauteur de la famille des astéracées anciennement composées.
Cette plante présente une souche rampante à laquelle s’échappe une tige pubescente et rameuse vers la pointe.
Son feuillage rébarbatif par la profusion de ses segments épineux avec des feuilles sinuées et armées.
Son inflorescence rassemblée en capitules possède des fleurs dont la caractéristique précise de cette espèce est d’être de couleur lilas, elles apparaissent de juillet à septembre.
Elles amènent comme fruit des akènes présentant des aigrettes de poils blancs ou roux et renfermant de nombreuses graines, il est d’ailleurs à stipuler qu’un seul cirse peut produire dans l’année près de quatre à cinq mille graines.
Habitat :
Cette plante est dès plus commune en Europe et à travers le monde, puisqu’elle considéré comme envahissante.
Elle pousse à l’état sauvage dans les champs d’où son appellation de cirse des champs, mais aussi les terrains vagues et les prairies.
Cirse : précautions effets secondaires, contre-indications :
Aucune contre-indication ou effet secondaire connu à ce jour, si vous avez remarqué ou eu des effets secondaires ou indésirables, indiquez-le dans les commentaires en bas.
Cirse utiliser pour, et les bienfaits sur la santé :
Astringente, diurétique, emménagogue, émétique, tonique, hémorroïdes.
Cirse : Dosage, posologie
Aucune information officielle à ce jour, si vous avez une indication de posologie que vous utiliser ou connaissez , laissez la en bas dans les commentaires.
Divers :
Le cirse des champs ou cirse comprend des jeunes pousses et racine qui servirent il y a des siècles de cela pour un usage alimentaire identique à nos asperges par les Amérindiens et les Russes, de plus cette plante est parait-il, une excellente productrice de miel.
Mais tout fut oublié de nos jours, car cet herbacé est particulièrement envahissant et seule cette caractéristique de plante nuisible lui est restée.
Il lui est d’ailleurs imputé de nombreux dommages sur la flore locale et différents pays l’on classer comme mauvaise herbe nuisible, dont l’Australie et le Brésil, le Canada et l’Irlande, la Nouvelle-Zélande et les iles Britanniques.
En France, Le cirse est considéré comme étant nuisible pour les cultures et dans différents départements des arrêtés préfectoraux sont en vigueur la concernant.
Le cirse est une plante survivante, en effet il fut constaté une durée de vie d’au moins 21 ans, de ces graines dans le sol, c’est dire sa ténacité.
Les graines du cirse sont un met de choix pour de nombreux oiseaux.
Mise à jour le 29/08/2016
Source(s) {
Référence
– Nebraska Department program noxious weeds Agriculture.
– Californian thistle (Cirsium arvense), Landcare Research, New Zealand.
– Invasive Plants and the problem of the United States: Cirsium arvense.
– Blamey, M. & Grey-Wilson, C. (1989). Flora of Great Britain and Northern Europe. ISBN 0-340-40170-2.
– Kay, QON (1985). Hermaphrodites in a known subhermaphrodites dioecious plant, Cirsium arvense (L.) Scop New Phytol 100: .. 457-472.
– Rousseay and Raymond 1945 cited in Moore and Frankton 1974.
IMPORTANT :
L’ensemble des informations mentionnées n’est donné qu’à titre indicatif et ne peut en aucun cas remplacer un avis médical précis pour chaque personne. Veuillez consulter votre pharmacien ou praticien avant tout usage.
Je consomme des plantes depuis trois mois, sous plusieurs formes, salade, soupe, bouillon. Je ne peux donc donner une appréciation pour chaque cas. globalement, j’ai noté de très nets avantages.
Je fais un nouveau commentaire, car, techniquement, il est impossible de répondre à votre commentaire.
Merci Pierret pour votre commentaire. Il est intéressant d’entendre que vous avez consommé des plantes depuis trois mois sous différentes formes et que vous avez constaté des avantages significatifs de manière générale. Il est vrai que chaque personne peut réagir différemment aux plantes en fonction de leur état de santé et de leurs besoins individuels.
Je comprends que vous faites un nouveau commentaire car il peut être difficile de répondre à tous les cas spécifiques mentionnés dans le post initial. Cependant, je pense qu’il peut toujours être utile de partager vos expériences et impressions générales, car cela peut fournir des informations précieuses à d’autres personnes qui pourraient envisager d’essayer des plantes.
Si vous avez des détails supplémentaires ou des observations spécifiques sur les avantages que vous avez remarqués, n’hésitez pas à les partager. Cela pourrait aider à approfondir la discussion et à donner aux autres utilisateurs une idée plus précise des bénéfices potentiels de la consommation de plantes.
Dans l’ensemble, il est encourageant d’entendre que vous avez eu de bons résultats en consommant des plantes, et cela peut inspirer d’autres personnes à explorer cette option. Merci encore pour votre commentaire et votre contribution à la conversation.
Je fais un bouillon, souvent avec d’autres plantes, berce, prêle. Cuisson 3 heures à 95°C.
Merci pour le partage, Pierret. Votre méthode de préparation du bouillon avec d’autres plantes comme la berce et la prêle semble intéressante. Cela ajoute certainement des saveurs et des bienfaits supplémentaires à votre recette. La cuisson lente à une température de 95°C pendant 3 heures permet également d’extraire pleinement les nutriments des plantes. Avez-vous remarqué des avantages spécifiques pour la santé en utilisant ces plantes dans votre bouillon ?
Je consomme abondamment des plantes sauvages depuis mars 2023, en salade, en soupe, en bouillon. Je ne pourrais pas attribuer un ordre d’intérêt pour une plante ou une autre, ni pour une préparation ou une autre.
En revanche, j’ai noté un très très net avantage de consommer des plantes sauvages.
Merci pour votre commentaire, Pierret. Il est fascinant d’entendre que vous consommez abondamment des plantes sauvages depuis mars 2023, sous différentes formes telles que des salades, des soupes et des bouillons. Il est intéressant de noter que vous ne pouvez pas attribuer un ordre d’intérêt pour une plante spécifique ou une préparation spécifique. Cela suggère que chaque plante sauvage apporte ses propres avantages et bienfaits à votre alimentation.
Vous mentionnez également avoir remarqué un avantage très net en consommant des plantes sauvages. Pourriez-vous nous en dire plus à ce sujet ? Avez-vous constaté des améliorations spécifiques pour votre santé depuis que vous avez intégré ces plantes dans votre alimentation ?
Il y a des progrès, notamment au niveau intestinal.
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